Voici vos oeuvres. Si vous voulez
figurer dans cette partie, n'hésitez pas à m'envoyer
vos créations.
Tout est bleu
Tout est bleu,
Quand on est tous les 2,
Allongés sur la plage,
Mais on a quel âge,
L'âge de s'aimer,
Mais aussi de s'embrasser,
Seuls tous les 2,
En ce moment tout est bleu.
Auteur anonyme
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Ma meilleure amie
Ma meilleure amie,
Toi en qui j'ai confiance,
A qui je fais mes confidences,
Celle avec qui je partage mes fous rires,
Ceux auxquels je pense quand je n'arrive pas à dormir,
A l'infini je te remercie,
De lire ce poème que je te dédie,
Toutes les 2 nous détendons la clé celle de
l'amitié,
Et c'est à toi que je la confie,
Car tu es pour la vie et à jamais ma meilleure amie.
Auteur: Alicia 18 ans
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Tes yeux
Douce et parlante la couleur de tes yeux,
Oh brillante comme un grand feu,
Rien ne pourra me faire oublier,
Inlassablement je pourrais t'aimer,
Ah tes yeux me font vibrer,
Non Dorian je ne pourrais oublier de t'aimer.
Auteur
anonyme
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Univers
Quand la nuit se dévoile,
Lunivers des étoiles,
Prend place dans le ciel,
Dans un monde détincelles
Pour un monde sans pareille.
Éloignées de souffrance,
Elles ne sont que romance,
Égarées dans la paix,
Elles ont tout ce que jaime.
Alors ne penser à rien,
Et regarder lunivers,
Simplement regarder,
Et se perdre parmi elles.
Oublier qui on est,
Et admirer leur beauté,
Se fondre parmi elles,
Et voyager avec elles,
Dans le doux balancement,
Dune étoile filante.
Et les larmes de nos curs,
Sapaisent en douceur,
Car la peur sestompe,
Dans ce monde dévasion.
Auteur
anonyme
Blandine
J'aurai tant aimé te connaître,
Voir ton beau sourire,
Et ta joie transparaître,
Réagir à ton moindre soupir.
J'aurai tant aimé te voir grandir,
Avoir foi en l'avenir,
Caresser ton doux visage,
Je te dédie ce message.
A toi qui si tu m'entends,
La fille que jamais je n'aurais,
tu sais on ne regrette pas souvent,
Mais là c'est la réalité.
Vivre avec ce rêve brisé,
Cette vie sans lendemain,
Ce sentiment gâché,
De n'avoir rien fait de bien.
Adieu Blandine, belle enfant,
N'écoute pas ce qu'on te dit,
La vie c'est que du vent,
Moi je l'ai bien compris.
Auteur: votre serviteur,
José
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Paradis
Seuls tous deux dans cet enivrant paradis,
J'ai embrassé son visage qui frémit,
Et songé à tous les chemins différents,
Qu'un jour nous pourrions prendre avec un enfant.
Pourquoi ne veux-tu pas comprendre que je t'aime?
Toi tendre et seule, toi étrange comme les anges,
Tourbillonnant dans la profondeur des océans,
Tu es semblable à un long rêve troublant.
Tu es la fille qui peuple mes rêves,
Celle qui habite mes nuits,
Pourtant l'espoir, le bonheur, s'achèvent,
Dés que je ne suis plus endormi.
La lumière du jour me lécha le
visage,
Je devait certainement dormir depuis des jours,
Et je dû alors constater dans mon naufrage,
que c'en était fini à jamais et pour toujours.
J'étais seul, tout seul sur cette immensité
démontée,
Me volant la seule fée que je n'ai jamais aimée,
La fée qui noya son immense profondeur en moi,
Dés l'instant où elle m'a entouré de
ses deux bras.
Toi tendre et seule, perdue et seule,
Toi étrange tels que le seraient les anges,
Je ne t'ai pas vue quand tu es partie,
tu es juste comme le paradis.
Auteur: votre serviteur,
José
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Délire, Désir
Délire désir, délire
évasif,
Le temps dun instant,
Je pars en délire,
Musique envoûtante fumée enivrante,
Je pars en délire.
Bercée par le rythme, langoureux des tam- tams exotique,
Je pars vers un monde étoilé
Quel est ce monde, ou suis-je !
Mon corps reste, mon âme s'envole vers lévasion.
La tiédeur de la nuit, la douceur de tes mains,
memporte dans la chaleur de ton corps,
Vers mes fantasmes les plus secrets, vers le désir.
Viens avec moi le temps dune nuit,
Rejoins-moi le temps dun désir,
Le temps dun délire.
Auteur
anonyme
L'absence
Rien n'est plus triste que l'absence,
Cette tristesse qui vous touche,
Cet ennui, cette malchance,
Qui partir en sanglots vous pousse.
Qui vous prive d'un être cher,
D'un être aimé,
Cette absence qui exaspère,
Qui vous fais vous sentir désemparé.
Atteindre le point de non retour,
Se dire que la vie est cruelle,
N'avoir plus aucun recours,
En vouloir enormement au ciel.
Pourtant la vie continue,
Tant bien que mal se perpétue,
Avec ses peines incomensurables,
Et ses actes méprisables.
Auteur: votre serviteur,
José
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